Réunis lors d’un sommet virtuel organisé par le Royaume-Uni, une trentaine de dirigeants internationaux ont décidé, samedi 15 mars, d’accentuer la pression sur la Russie, soupçonnée de vouloir prolonger la guerre en Ukraine.
Le président français Emmanuel Macron a affirmé que Moscou ne pouvait s’opposer à l’envoi de “forces alliées” en Ukraine si Kiev en faisait la demande, une hypothèse que le Kremlin rejette fermement.
De son côté, le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a déclaré que “la balle est dans le camp de la Russie”, estimant que Vladimir Poutine cherche à gagner du temps plutôt que d’engager des négociations sérieuses.